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Playlist
juil. 2006

The name's Plissken

En fait je cherchais des images de L'Antre de la folie, je tombe sur ça et je souris parce qu'il n'y a pas à dire, y'a pas mieux dans le genre.
Franchement, qu'y a-t-il de plus cinématographiquement cool que lui ? Hein ?

En tout cas, ce soir, séance film culte avec If you build it, he will come !

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Down on my knees

yoda
Dormir tu dois.

Bricolé des trucs jusqu'à pas d'heure. Y'a plus qu'une seule page qui me résiste encore un brin.

Réjouissons-nous alors.

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I should have known

Crénom de pomme. Ça ne marche pas !

update: heu... Ça marche ?
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Rose Parade

Arrivée la semaine prochaine du site des Troubles du réel version 2.0

Faut juste que je récupère un brin de la soirée bar & bières afin de me remettre au boulot. (On recommence quand?)
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Radio Free Territory (la suite)

La playlist de quelques unes des chansons citées dans le Dantec.

Always Crashing In The Same Car
- David Bowie
Ladytron - Roxy Music
2000 Light Years From Home - The Rolling Stones
Get It On - T. REX
Warm Leatherette - The Normal
Final solution - Pere ubu
dazed and confused - Led Zeppelin
Interstellar Overdrive - Pink Floyd
Funtime - Iggy Pop
She Sells Sanctuary - The Cult
Dancin With Myself - Billy Idol
Stupid Girl - Garbage
Hurt - Nine Inch Nails / Johnny Cash
Knocking On Heaven's Door - Bob Dylan
The Seeker - The Who
I Am The Walrus - Beatles
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Radio Free Territory

dantec
Hop ! Il pleut ce qui signifie qu'il est plus que temps de faire mon petit compte rendu de lecture de Grande Jonction, le nouveau roman de Maurice G. Dantec.

Voilà le résumé piqué sur un site de vente en ligne, cela m'évitera d'en composer un :

2070. 12 ans après la destruction de la Métastructure qui, si elle a pacifié le monde, est parvenue à complètement machiniser l'Homme. Une seconde mutation est en cours : quelque chose se sert du néant laissé par la Métastrucuture pour le détruire. Elle le tue en attaquant le langage. En le ramenant à son degré zéro, en le convertissant en langage numérique, à une suite binaire de 0-1. L'Homme risque de mourir comme une machine, c'est le piège ultime de la technique. Seul espoir, l'attente d'une cargaison de livres. Une bibliothèque entière qui bien sûr est extrêmement menacée…


Comme je le disais, j'ai cessé de lire Dantec peu après le Théâtre des opérations. Je ne parvenais plus à le suivre dans les terrains et les formes qu'il travaillait. J'ai donc laissé passer ces deux romans, pour embrayer sur celui-ci, qui m'a grandement réconcilié avec le bonhomme.
Tout d'abord il n'y a plus les scories qui nuisaient tant à ma lecture (les pages incompréhensibles où Dantec semblait rendre compte de ses dernières lectures en philo ou alors le travail sur le style un peu trop voyant pour moi.) Au contraire, les digressions philosophiques, religieuses sont intégrées au récit et le font progresser. Le style est très dynamique, prévilégiant la répétition et l'anaphore, les ruptures de rythme afin de créer une voix très personnelle.
Dans ce futur apocalyptique, le livre va être la seule arme de destruction massive afin de sauver l'humanité de la dévolution qui l'attaque. Bien entendu, le Livre est celui qui apportera les clés nécessaires... avec l'aide de ce bon vieux rock'n roll !
Livre chrétien rock, Grande Jonction est un voyage qui demande beaucoup de son lecteur et le lui rend bien. On retrouve les obsessions de Dantec (les armes à feu, la métaphore du camp de concentration, les relations de l'homme au monde). On peut lui reprocher une certaine longueur qui dilue par moment un peu trop l'intrigue, négligeant peut-être certains points importants et reprenant inutilement les mêmes idées.
Mais on ne peut que s'incliner devant l'ampleur du souffle, la pertinence de la structure et l'intégrité du bonhomme. Je suis curieux de voir sur quels points on va l'attaquer maintenant. J'espère qu'il ne fera pas le prosélytique lors de sa tournée promo, cela gâcherait tout !
Certainement pas le chef-d'oeuvre absolu qui bouleversera à jamais votre conception du monde mais probablement quelques-unes des plus belles pages lues depuis longtemps.
Dantec explore une certaine modernité: livre de pure SF publié dans une collection généraliste, Grande Jonction peut être vu comme une belle réponse à la Trilogie Divine de Philip K. Dick. Il y a pire comme référence.

En accompagnement sonore, Johnny Cash, forcément.

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Dancing with Myself

cashfinger
Petite mise à jour, avec un changement d'adresse pour le site. Désolé pour le dérangement.

Fini le Dantec. J'en parle plus tard.

Commencé un autre bouquin. Y'en a un qui sait lequel.
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Sans la musique la vie serait une erreur

J'ai passé un long moment à faire des recherches sur Dantec. A dire vrai, la découverte des Racines du mal à sa parution avait été un électrochoc absolu. Depuis j'avais lu ses textes suivants avec toujours beaucoup d'envie et de curiosité. J'ai perdu pied avec son Théâtre des opérations. Je n'ai pas lu les romans suivants, n'en ressentant plus aucune envie. Lire la suite...
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Mais non, mais non

Journée simple : matinée à bricoler le réseau informatique, après-midi glandouille bidouille (j'ai corrigé pas mal de choses sur le site, comme trouver une solution élégante pour des vidéos qui se lançaient parfois mal et j'ai travaillé sur quelques pages qui devraient apparaître dans la semaine prochaine) et soirée encore improbable.

Donc la seule chose à faire est de mettre de la musique fort.

Je vous tiens la main pour le début mais après vous vous débrouillez tout seul.

Pour commencer, je suis désolé, mais vous allez chanter ça pendant deux ou trois jours (mais non, mais non !!!) Les cinq dernières secondes sont classiques ! Lire la suite...
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Sarah !

cash
Poney, Décathlon, madeleines & un peu de sport... que demander de plus ? Un rendez-vous avec une catcheuse mexicaine, peut-être.

En tout cas, bienvenu à Sarah, âgée de trois heures à peine. Qu'elle m'appelle tonton même si je ne le suis pas, ses frères le font déjà.

Et je me suis amusé à faire ça.
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Once I had

Après-midi rangement. Donc musique !

kebmo

Keb' Mo'

Je ne connaissais pas le bonhomme dont le nom seul m'évoquait de la musique traditionnelle sud-asiatique. C'est du blues solide et beau, et cela m'épate.




reggae
Matisyahu
Je n'y connais que couic en matière de reggae. Mon innocence en la matière me permet d'apprécier pleinement le projet délirant du gars qui mélange rythme jamaïcains et Torah. Le tout en dodelinant doucement de la tête.




joan
Joan as Police Woman
Ma révélation du jour. C'est beau, c'est bon et je suis en train de tomber amoureux de la jeune femme. Désolé Katie, nous avons vécu de belles choses mais tu vas pouvoir garder tes vélos à Pékin tranquillement. (Mais ne t'éloigne pas trop, hein !)


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Test de beta

spock
Hop, histoire de ne pas perdre la main, je participe au programme de beta-test de Blocks, un plugin pour Rapidweaver, développé par YourHead. Le truc a l'air particulièrement prometteur, il reste à espérer que je saurai m'en dépatouiller.

L'humiliation du jour: Battu au ballon par ma fille. Il faut dire que je n'ai pas vraiment compris les règles changeantes du jeu.
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Don't get weird on me, babe

dick
Je viens d'interrompre la lecture du Dantec (y'a beaucoup à dire dessus) pour me faire un petit plaisir. Je viens de relire une nouvelle de Dick, publiée chez Folio, dans leur collection à deux Euros. Ce que disent les morts. Je connais le texte, l'ai lu plusieurs fois mais retrouve quand même la même musique que j'aime tant.
La littérature et la musique sont très proches chez moi. Les deux se consomment souvent, se goûtent parfois et s'apprécient rarement. Mais quand j'aime une fois, j'aime pour toujours.
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Dans la haute rue à Cologne

supie

Je viens de recevoir les dernières corrections et - je l'espère - les derniers ajouts à faire sur le manuscrit. La montée en puissance qui, je le sais, n'augure en rien de la qualité du résultat final, la montée en puissance du tout m'impressionne. Au risque de sonner plus prétentieux que je ne le voudrais, je suis assez fier de voir le chemin parcouru ainsi que les progrès que j'ai pu accomplir.
Le meilleur dans tout ça est que je ne vois pas comment me passer de continuer à travailler ainsi par la suite.

Cela va être dur d'attendre la fin de l'année.

Une petite madeleine : J'ai passé un petit moment à essayer de mettre la main une reproduction du poster de Superman qui décorait ma chambre d'enfant. Je ne l'ai pas retrouvée, hélas. Donc en attendant, je me fais quand même le petit plaisir de mettre cette photo de Christopher Reeves.
Samedi soir : Soirée costumée. Thème : les super-héros. Dois-je en dire plus ?
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Qui est cet être humain qui respire à mes côtés ?

robot
Les corrections du manuscrit se succèdent. Je suis vraiment content de certains passages, d'autres sont certainement plus faibles.
En tout cas je suis très satisfait de l'ensemble, malgré les douleurs de l'accouchement.
D'ailleurs je m'offre sur le champ une danse de la joie, tout nu, autour de l'ordinateur.


Les résolutions du jour sont nombreuses :

1/ Changer de lunettes. (Un jour je raconterai ce drame permanent qu'est le changement de lunettes)
2/ Ecrire une nouvelle, juste pour voir.
3/ Respirer.
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La Sierra Nevada qui la nuit crie ton nom

elephant
Enfin ! Un livre vient de s'imposer à moi : ma première lecture depuis très longtemps sera le prochain Maurice G. Dantec Grande Jonction, à paraître en septembre. Non, je ne dirai pas comment je me le suis procuré !
Les premières pages augurent du grand Dantec, je sens qu'il va falloir s'accrocher aux branches : cela commence par une déconstruction sémantique et métaphysique d'une Gibson Les Paul. Chaque chapitre a pour titre une citation rock (ex. chapitre 1, Radiohead, chapitre 2 Station to Station, etc.)
Je me plonge maintenant dans la lecture, la nuit est propice à l'exercice.
Les Racines du mal est certainement un des bouquins que j'ai le plus souvent offert, aux gens qui n'aimaient pas lire, à ceux que j'aimais bien et parfois même juste pour le plaisir de surprendre des lecteurs avisés.
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Wise up

hills

Le remake de La Colline a des yeux est un film réussi. Si j'en crois mon trouillomètre personnel, il est même particulièrement efficace dans le genre ! Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu de film aussi gore. On voit tout, beaucoup de sang et de... heu... sang.
Mais surtout le réalisateur a un sacré style qui fait que... on jette de discrets coup d'oeil à gauche et à droite pour se rassurer ; on regrette surtout de voir le film tout seul et de de ne pas avoir une main ou une épaule à broyer afin d'évacuer un peu de stress.
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Je viens d'arriver, perdu, seul ici

tiennou
Après-midi à jouer le papa célibataire papotant avec de jeunes mamans. Tout commençait très bien.

Puis je reçois ça et m'écroule de rire devant l'ordinateur. Je dois dire qu'il touche certainement beaucoup plus juste qu'il ne le pense. Je suis désolé pour les blagues hors contexte que certains ne comprendront pas. C'est la loi du genre.

Voilà donc mon portrait par un barbu velu Happy

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A noter toutefois que l'ami Etienne souffre du complexe du deuxième prénom qui est un blocage courant dans le monde de l'écriture et plus particulièrement chez les auteurs de SF.
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Showtime, folks !

pile

Un peu de rangement. J'ai fait une pile des DVD que je voulais voir, puis me suis pris au jeu et ai ajouté quelques films que je voulais
revoir. Voilà la pile, sans ordre, comme elle vient.

1/ David Lynch - Blue Velvet
Sa découverte au cinéma fut un choc émotionnel total. Je ne sais plus combien de fois j'ai pu le voir. Mais cela vaut pour la plupart des Lynch.  Je me souviens d'interrompre
Eraserhead parce qu'il était trop intense, puis de le revoir immédiatement la K7 terminée. Juste en dessous, il y a le DVD de Mulholland Drive.

2/ Blade Runner
Je ne sais plus combien de fois. Je connais le film par coeur, ai lu quantité d'études et d'articles. Je ne parviens pas à l'épuiser... Je n'y parviens tout simplement pas.

3/ The Big Lebowsky
La comédie parfaite des années 90. Voilà tout est dit. A ne pas voir le samedi. Parce qu'on ne joue pas au bowling le samedi, le samedi c'est Sabbat, bordel !
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2:45

It's 2:45 in the morning
and i'm putting myself on warning

(Elliott Smith) Lire la suite...
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London calling

neuro
Depuis plus d'un an je n'ai quasiment lu - et relu - que les trente-deux volumes de la série des Fantômas de Pierre Souvestre et Marcel Allain (publiés de février 1911 à septembre 1913.)

Je ne me suis autorisé que deux exceptions, le formidable premier roman de mon ami Laurent, Neurotwistin ' et la relecture du non moins formidable Feu Follet de Drieu La Rochelle. Il serait vain de chercher un lien entre les deux mais l'exercice pourrait être amusant !
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