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Playlist
janv. 2007

Paris

Donc en bref : Beaubourg, Orsay, Père-Lachaise, boutiques, marche, marche, marche...

Et visite nocture du Sacré-Coeur compensée par un tour au mur de ces Fédérés que j'aime tant.

Crevant mais particulièrement réjouissant !

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En week-end

Hop, d'ici quelques heures, départ pour Paris ! Week-end de promenade(s), de destruction de pieds, de chauffage de carte bleue et peut-être une exposition sympa.

De retour dimanche soir.
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Une femme, une vraie

femme

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Un gars sérieux

Je viens de relire Casino Royale. C'est du tout bon, cela a beaucoup vieilli et pourtant le personnage de Bond fonctionne parfaitement. Je l'ai nettement plus apprécié qu'à ma première lecture, peut-être parce que cette fois je l'ai lu en VO.

Voilà, c'était l'annonce du jour : il neige et je fais mes devoirs.
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Ainsi

S'il est une chose que j'aime particulièrement ce sont les instants qui précèdent le moment de se mettre vraiment au travail. Depuis quelques jours, je fouille, cherche des références et les premiers bouquins commencent à arriver par la poste. Maintenant une petite pile m'attend, je sais que quand je vais y plonger les choses sérieuses vont réellement commencer.

Et j'aime ça.
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C'est vrai

Je suis déviant : la preuve, je ne peux écouter cette chanson sans chercher les alexandrins.

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Jusqu'au bout du rêve

Rocky Balboa est un bon film. Je pourrais tourner autour du pot pendant des lustres que cela ne changerait rien. Le père Sly réussit ce que je n'aurais jamais osé imaginer : un film sur la boxe sensible et intelligent. Sensible parce qu'il interprète de nouveau Rocky tel qu'il aurait toujours dû être, avec une démarche lourde, une élocution hésitante et un coeur immense qui lui permet de se réaliser quand il est sur le ring. Intelligent parce qu'il n'ignore aucun des aspects casse-gueule du projet pour les confronter et les surmonter.

Quel que soit le niveau sur lequel on se place, le film est d'une grande cohérence. Il est un dernier round, un ultime combat, pour l'honneur et pour se sentir vivant. Dans ce combat la star déchue et son personnage fusionnent comme jamais. Toutes les citations des films précédents sont là. Mais elles ne sont pas gratuites ou fortuites. Il suffit de regarder les dernières images pour le comprendre.

Rocky avait donné sa chance à son géniteur. Il en avait fait la star des années quatre-vingts. Ce serait chouette qu'il lui permette, cette fois, une fin de carrière éblouissante.

Et ça me donne envie de revoir Copland.
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Le Gino avait raison

Mon dieu, mon dieu, je n'arrête pas de voir des films ces temps-ci...

Les Fils de l'homme est en tout point remarquable. Une science-fiction aussi fine qu'intelligente, un casting parfait et une mise en scène... Une mise en scène d'une efficacité et d'une subtilité rare. Le nombre de plans séquences, pertinents et maîtrisés, a de quoi laisser sans voix. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu envie de revoir certaines scènes dès la fin du film !
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Corinthiens 13:12

Voilà, c'est fait : j'ai vu Scanner Darkly. Le film est une réussite évidente à partir du moment où l'on accepte l'intransigeance de la démarche: faire une adaptation fidèle en cherchant une forme qui puisse convenir au projet. Le roman a été allégé, l'intrigue simplifiée. Pourtant la lettre est présente, ce qui satisfait largement le dickien exigeant.

Le rotoscoping permet cette recréation d'une réalité, la mise en place d'une forme hybride entre le film et le livre. Et cela fonctionne. Visuellement le film est très beau, toujours surprenant.

Bien sûr, ce n'est pas le chef-d'oeuvre que l'on espérait. Il manque peut-être le trouble profond que le livre délivre. Ou alors ma vision a été perturbée justement par ma connaissance de l'oeuvre.

Cela reste une excellente adaptation. Ce qui, l'un dans l'autre, n'est pas rien.
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